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Le 3 octobre 1774, Nicolas fait des emplettes aux alentours du vieux Louvre : une pierre chez Mme Peloise (« vis-à-vis de la Comédie-Française »), de l'essence de térébenthine chez un mercier (dans la grande cour des Quinze-Vingts), et divers livres chez les bouquinistes de la galerie du Louvre.
Un exempt vient l'y chercher pour le conduire à l'hôtel de police, où Lenoir l'informe que le duc de La Vrillière le fait demander. Nicolas se rend donc à l'hôtel Saint-Florentin, près de la place Louis XV. C'est le début de la cinquième enquête. |
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Le lendemain, il fait « un grand tour sur les bords du fleuve » puis traverse le jardin des Tuileries avant de rejoindre l'hôtel de police, où Lenoir lui confie – outre l'enquête sur le meurtre de Marguerite Pindron – la mission de « prendre langue » avec les nourrisseurs de bétail afin d'endiguer l'épidémie de charbon par des mesures d'hygiène draconiennes.
Après une visite à Sartine, dans son hôtel particulier, Nicolas rejoint le Châtelet, pour y assister à l'autopsie de Marguerite Pindron. |
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Revenu à l'hôtel de police, Nicolas y demande l'adresse d'un responsable dans le négoce du bétail. On l'envoie d'abord chez M. Poisson, rue Saint-Marc. Là, on le renvoie chez M. Imbert, rue de Richelieu, puis chez M. Collart du Tilleul, près du marché des Saints-Innocents. Ce n'est qu'au terme de ce périple qu'il parvient à obtenir la bonne adresse : celle de M. Longères, qu'il rencontre à Popincourt (ou Pincourt), après avoir traversé le faubourg Saint-Antoine.
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Après avoir quitté M. Longères, il traverse la Seine pour se rendre, au-delà de la place de l'Estrapade et de la rue des Postes, à la maison des Filles de Saint-Michel, pour y rencontrer Hélène Duchamplan, la sœur aînée de la défunte Mme Missery.
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